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Les Conneries De La Singlée
Les Conneries De La Singlée
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Les Conneries De La Singlée
27 avril 2007

tranche de vie

Mes emmerdes on commencer avec la prof d’anglais, elle m’avai retenue une fois à la fin du cour. Là elle c’était mise a me critiquer, à me juger, à me pousser a bout. Je me souviens mal des détails, ça date un peu. Je lui ai dit que j’avais parfois envie de couper des doigts, elle c’est décomposer. J’ai failli éclater de rire entre mes larmes artificiel tellement la situation était comique ! elle m’a dit d’aller parler a l’infirmière, elle me l’a fait promettre, j’ai juste répondu un truc de l’ordre de « ouais ouais  OK ». je ne l’ai pas fait. Je suis aller rejoindre Laure qui m’attendais dans le couloir, et un peu plus loin j’ai exploser de rire et je lui ai tout raconté en essuyant les larmes que j’avais provoquer d’un revers de manche. L’histoire à fait le tours de la classe. Tout les élèves étaient au courant. Moi je m’en fichai pas mal. Certains sont venu me voir pour me demander le pourquoi du comment, je leur est reraconter la scène, sa leur a suffit. Le problème ça à été le jeudi. (l’histoire c’était passé le mardi.) la prof d’anglais avais prévenu l’infirmière, et celle-ci m’a convoquer au milieu du cour d’art plastique. Le téléphone de la salle (car elle est au 4em étage) a sonner, la prof a décrocher, puis ensuite elle a dit a mon intention « tu descend immédiatement a l’infirmerie ! » je me souviens de ses paroles, et elle résonne encore en moi. Léa, la délégué, m’a accompagner. Je suis entré a l’infirmerie. Ce qui c’y est passer et flou, je me souviens avoir pleurer de larme fausse, et de larme sincère. Je me souviens avoir eu une attitude très détacher, et de n’avoir presque rien dit. Elle pensai, a tort, que c’était MES doigts que je voulais couper, ce qui est entièrement faut. C’est ceux de la prof d’anglais que j’aurais voulu raccourcire de manière permanente. Mais ça je ne l’ais pas dis. Je pence avoir eu raison, quoi que. Ils ont du penser pouvoir rajouter « suicidaire » sur ma fiche scolaire. Je suis sadique, et je voudrai juste leur provoquer de la souffrance pour qu’ils puissent enfin pouvoir me comprendre, comme ils prétendent pouvoir le faire. Mine de rien, la prof d’anglais a gagner un peu de mon respect, cela m’a étonner moi même. L’infirmière m’a dit de revenir la voir, je ne voulais pas. Je suis retourner en classe. La prof, a qui les autres élèves avaient tout raconter, me demanda si l’affaire aurais des suite. Il n’y en a eu aucune. La prof d’anglais ne m’a plus jamais approcher. Quelque jours, mois, semaines plus tard, je n’ai plus la notion du temps, je me suis rendu compte que je ne supportais plus le contacte de mon père. Dès qu’il me touchais à un endroit, j’avais envie de me mutiler et de m’arracher la peau pour ne plus avoir sa marque. Je ne l’ai jamais fait. Je ne supportais pas de le toucher. Ses caresse me brûlais, ses baiser m’asphyxiais je ne pouvais plus le toucher. Je le méprisais, et le méprise encore aujourd’hui. J’aimerais ne plus jamais avoir a le toucher. Je me suis mise a espérer de toute ma famille mourrais dans un accident et que je resterais seul. Si je me souviens bien, c’est aussi a cette époque que j’ai commencer a vraiment aimer karno. Dages et lui, on été pour moi un soutien sans lequel je ne serais plus là pour raconter cette histoire. Nee aussi m’a beaucoup aider, mais cela je ne m’en rendais pas compte. Je voudrais les remercier tout les trois, d’être avec moi. Je pouvais toujours compter sur eux si j’avais des problèmes. Pour me remonter le moral, m’aider a surmonter la présence de mon père. Les différentes affaires se sont tasser, calmer, la routine a imposer ses lois. Jusqu'à ce que je me face virer d’un cour de français. La prof m’a envoyer chez le CPE, Mr Pain. Je lui ai raconter que je m’était fait virer parque je dormais sur la table… oooh ! c’est pas bien ça ! vilaine petite fille ! le cour me faisait chier, la prof voulais encore nous imposer son opinion comme étant le seul et unique de bon, alors qu’elle se trompai complètement. Ça m’avais énerver, je m’étais allonger sur ma table. Elle m’avait virer. Normal pour une prof non ? sauf quand on sait que ma voisine de devant dort a TOUT les cours sans exception ! surtout celui de français d’ailleurs.  Le CPE a parler avec moi. Il a appeler ma mère. Mes devoir de français ou je n’en faisais qu’à ma tête : histoire d’amour sur un champ de bataille ou le « héros » dévorais la fille, critique ouverte de la prof dans un commentaire composer… tout cela est remonter, et m’a causer des ennuis. Mes notes avais déjà commencer a chuter. Mr Pain m’a envoyer au rellay. C’est un sorte de cabinet plein de doc et de psy en tout genre. C’est gratuit, et pour les étudiants. Je n’avais aucune envie d’y aller. J’y ai été obliger. Entre temps, j’avais eu une discussion avec mon prof de math, un des seuls prof qui crois encore en moi, même aujourd’hui. Il m’avait dit, et je l’avais compris, que ça ne servait a rien que j’abandonne maintenant. Je lui avais parler, il m’avait écouter. Je lui en suis reconnaissante. Il m’a fait comprendre que je devais continuer a m’accrocher. C’était un mercredi. Suite a ça, ma mère a tenu a avoir une discussion avec moi. Elle a tenu a ce que je retourne la psy que j’avais déjà vu étant petite. C’était la dernière semaine aven les vacances de février. J’ai vu la psy le dernier samedi des vacances, je ne voulais pas la voir, je lui ai bien montrer. Je l’ai vu une foi par semaine suite à ça, je ne voulais pas. C’est elle et ma mère qui ont décider à ma place. Je déteste ça. Le premier mercredi des vacances, je suis aller au rellay. J’ai été prise en charge par deux affreuse infirmière qui ont fait une fiche sur moi. Je ne voulais pas être là. Elles m’on donner un rendez-vous pour le vendredi de la même semaine, avec le psychiatre. Un homme ignoble. Je l’ai vu le vendredi, je ne veux plus jamais le voir de ma vie. Jamais. J’ai du ensuite venir avec mes parents. Il leur à redonner un rendez-vous sans moi, il n’a pas encore eu lieu. Deux semaines avent les vacances, le pire, je pence, est arriver. Un vendredi, après l’AI français, ou je n’avais pas pris de note par manque d’itérais de ce qui à été dit, la prof m’a prise a part à la fin. J’avais encor une heure avec elle ensuite. Je n’y suis pas aller. Suite a des critiques, des mots agressifs, méchants et intrusifs, elle m’a mise hors de moi. Elle me disait que de toute façon, je n’aurais jamais mon bac. Que l’école que j’avais, et ai d’ailleurs toujours l’intention, d’intégré l’année prochaine n’étai absolument pas fait pour moi. Que je n’apprendrais jamais rien. Que je ne servais a rien. Que je ferais mieux de me sociabiliser, et d’apprendre la vie en société, que le lycée auto géré (10% de réussite au bac, autant le dire). Je n’ais pas supporter ça. Quand elle m’a demander ce que je pensais, entre mes larme non fictive j’ai susurrer, puis presque hurler « je pence juste que vous seriez très mal si j’avais des ciseaux ! »  elle m’a exclu du cours qui n’avais même pas commencer. Elle m’a envoyer a l’infirmerie, accompagner une nouvelle foi de Léa. Elle m’a parler, moi j’m’en foutais. Je ne supporte pas qu’on me dise ce que je pence, surtout quand c’est faut. Je déteste qu’on me dicte mes pensé, je haie que l’on me prive de mes libertés. Je ne répugne pas me révolter. Je suis rentré chez moi. Pas que j’en avais spécialement envie, mais l’infirmière m’a dit de ne pas rester dans l’établissement. Je suis donc rentrer chez moi. Cette idiote a appeler ma mère. Elle lui a tout raconter, j’ai encore eu des emmerdes. Je ne suis pas aller en cours le samedi, je n’ais pas suivit un seul cour de français depuis. C’était aven les vacances. Nous avions rendez-vous vendredi avec le médecin scolaire, ce rendez-vous n’a pas eu lieu. A la place, un règlement de compte entre mes parents et l’établissement, je n’y était pas convier. C’était avent les vacances. Ces deux semaine de vacance m’on fait du bien. Quoi que. Une foi les cours repris, l’horreur a recommencer. Je ne voulais plus jamais revoir la responsable de toute mes emmerdes, la prof de français. J’avais une entre vu avec elle le lundi a 17h. je devais être seule entre elle et l’infirmière, qui, elle, devais servir d’aide et d’appuis pour moi. Elle était tout sauf un appuis. Tout sauf une aide. Nous, j’ais surtout, demander a la présence d’une autre personne, ce fût le principal adjoint. J’arrivais a l’infirmerie, sa allais encore. Je me répétais sans cesse « calmes toi calmes toi calmes toi calmes toi calmes toi » comme une incantation qui pourrais me protéger. Et quand j’ai vu ma prof, ça a été la panique total. Je tremblais, mes yeux voulais lâcher toute les larmes du monde. J’ai tenu bon. Nous sommes aller au bureau de l’adjoint, nous sommes rester dehors, ma mère, qui m’accompagnais, et moi. L’incantation avais reprit dans ma tête, « calmes toi calmes toi calmes toi calmes toi calmes toi » l’adjoint m’a fait entré, je tentais de me concentré, d’oublier la présence de la prof dans le fauteuil voisin au mien. Je tenais mon sac séré entre mes doigts. J’étais dans un état de panique et de terreur total quand l’adjoint a pris la parole. Il a dit de nombreuse chose dont je ne me souviens pas, puis m’a ensuite intimé à parler. Je me suis exécuter, justifiant mon acte, précisant qu’il était bien évidemment inexcusable,  je parlais vite, comme un texte que l’on récite, une poésie que l’on dit devant toute la classe, que l’on dit le plus vite possible pour enfin en être débarrasser. Je me tut, l’adjoint repris son monologue, j’évitait toujours de regarder ma prof. Me concentrant sur n’importe quel détaille de ce bureau, dont pourtant je me souviens à peine. La prof a ensuite pris la parole, les larmes on fusé, sa présence me terrifiait, sa voix m’était insupportable c’est là que je me suis souvenu des paroles de Dages, « toujours là quelque part… » elles m’ont paru évidente, et vrai, cette présence m’a rassurer, je me suis un peu détendu, je me suis calmer. Les adultes en présence en ont conclu que l’événement me perturbais, ils ne se rendais pas compte a quel point c’est faut. C’est la présence de la prof qui me perturbais. L’entrevu c’est terminer, je suis sorti, j’était soulager. Ma mère m’a fait remarquer que la prof de français était particulièrement en colère, elle pensait que c’était par ce qu’elle n’avait pas été seule avec moi, que je n’avais pas été à sa merci. Elle espérais que cela n’aurais pas de conséquence sur son attitude vis a vis de moi pendant les cours. Je ne peu pas le dire. Je n’ai toujours pas eu cour avec elle. Nous sommes vendredi de la même semaine. Je l’ai croiser dans un couloir aujourd’hui, les larme me sont monté au yeux, mon cœur c’est mis à battre comme s’il voulait s’échapper de ma poitrine, je me suis mise a paniquer, elle est passé a côté de moi, puis dans mon dos, je me suis calmer. Je ne sais pas comment aborder le cour qui aura lieu lundi. Je ne sais pas ce qu’il va arriver dans les semaine aven la fin de l’année.

Ceci était une parti de ma vie, ceci est une triste réalité dans un lycée qui pourtant a excellente réputation. On peu ajouter sur sa liste de « qualités » qu’il met les résultat et la tranquillité loin devant le bien être et la stabilité des élèves. A et c’est un bon établissement. Il paraît.

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Commentaires
D
Subir la haine pour avoir manqué d'amour... J'ai le rpessentiment que tout changera bientôt, tu es avec des gens de confiance... Courage !<br /> <br /> Un ami de l'ombre
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