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Les Conneries De La Singlée
Les Conneries De La Singlée
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Les Conneries De La Singlée
21 janvier 2007

m're!

désolé d'avoir été absente si longtemps!^^ pour me faire pardonné je vous offre cette histoire, certes c'est pas un dessin! XD mai c'est bien nan? nan? sa vous plai pa? et ba c'est pareille! XP

Laissez moi vous raconter une histoire. C’est une histoire ordinaire, l’histoire d’une adulte encore trop jeune. Elle n’avait pas atteint ses 10ans, que déjà son esprit vagabondais dans des lieux inconnues de ceux de son age. Déjà ses préoccupations dépassai ce que même les collégiens ne cherche pas. En avance pour son age, c’est ce qu’on disait d’elle. Elle voulut faire par de ses inquiétudes aux autre enfants, partagé ses craintes, elle ne reçut que des coup en échange. La solitude l’engloba. Elle ne comprenait pas, tout le monde aurai dût lui expliqué son point de vue, comme elle le faisait avec eux, elle n’avait pas encore saisit l’étendu de son avance, elle ne s’en doutai même pas. A moins de 10ans, elle se préoccupait déjà de l’après vie, qui avait il après la mort ? elle se questionnait. Les étoiles qu’elle observai le soir, la lune qu’elle admirai, combien y en avait-il ? jusqu’ou allaient ils ? cette chose immense que les adultes appelle Univers, avait il une fin ? si oui ou ? et comment était-ce possible ? c’étai inimaginable. Même un adulte se trouve impuissant et ne comprend se phénomène, alors imaginer une enfant, une enfant de 7ans, face a ça ? et ne pouvant en faire par a personne ? rejeté par ceux de son age, mépriser par les adultes pour sa jeunesse, esseulé de toute par. S’enfoncent là dedans, ses notes ne passais guère au dessus de la moyenne. A peine 10, 11. une élève peu brillante, malgré son avance. L’ennui s’installa bien vite chez elle. Peu scolaire, elle faisait le minimum syndicale. Les professeur la disait assidu, et pour cause, elle faisait ses leçons. Mais elle ne les apprenait pas, contrairement a ce qu’ils pensaient. Si elle s’était mit a apprendre un temps soit peut, elle aurai put être première de la classe. Mais cela ne l’intéressait pas. Trop occupé par ses rêveries que par ses devoirs de classe, elle les expédiait toujours très vite, pour pouvoir réfléchir, pensé, rêvé, lire. Si une chose lui avait été utile depuis son entré a l’école, c’était bien la lecture ! elle était fasciné par cette art de déchiffré les signes tracé sur les pages, d’en comprendre le sens, de les répété, de les utiliser a son tour, les tracés, elle aussi, formé des signes, qui forment des mots, qui forment des frases, tout cela elle adorait, c’était une délivrance que de savoir lire et écrire, plus besoin de l’aide des adultes, cela la libérait, et l’enfermai. D’une certaine manière. Libérai son esprit vagabond vers d’autre monde inexplorés et fantaisiste, enfermait dans sa solitude et ses songes irréalistes. Elle ne « vivait plus » dans le monde que nous connaissons, nous, elle vivait dans « son » monde. Un monde dont personne n’avait la clef. A elle de donner ou non la solution des ses énigmes. Ses années de vie était rythmé par rien. Un néant sans nom. Elle était seul, elle le savait, elle s’en fichait. Elle ne souhaitai rien d’autre que continuer a ce train. Une vie de papier. Sans passé, une présent éphémère, un avenir inexistant. Note stagnant à la moyenne, vie social inexistante, solitude immense. Jamais elle n’avait chercher le contacte des autres depuis son « sevrage » et son exil. Jamais plus depuis qu’elle avait fait par de ses inquiétudes. A partir de ce jour elle les gardaient pour elle, les écrivant sur des pages et des pages. Des cahiers, des feuilles volantes, tout cela transcrivant ses nombreuses inquiétude sur le monde dans lequel elle vivait. Ses peur, ses envie, elle ne décrivait que très peu sa vie dans ses immense anale de son existence. Ses multiple interrogation restait secrètes, sa vie inexistante. Elle ne cherchai qu’une chose avec tout ceci, des réponses. Des explications, quoi de plus énervant qu’une énigme sans solution ? on la recherche seul pendant de long moment, sans aboutir a aucun résultat. Personne ne l’aidait, elle ne demandait d’aide a personne. Etrange par nature, seul par différence, réfléchit par choix, triste par solitude. Triste par peur, par vide, elle n’était en fait rien d’autre qu’une coquille vide. Un corps sans autre chose qu’une réflexion infinie sur des chose qui la dépassait. Du haut de ses 7ans, elle ne pesait pas lourd. Mais si on cherchai a l’analyser, on voyait tout de suite qu’elle était bien au dessus de la moyenne des jeunes. Elle dépassait le niveau des adultes, et de loin. Cependant elle était une enfant peu brillante, et personne ne s’intéressait a une enfant comme elle. C’est vrai ! pourquoi allé vers les moins bon, quand on a une élite ! peut être que c’est par ce que les élites ne sont que des perroquets qui récite leur leçons appris par cœur. Qu’est ce que sa veut dire ? eux il s’en fiche ! il récite il sont félicité que demander de plus ? elle, elle réfléchissait. Ce que bien des gamins n’avait jamais eu l’idée de faire. Elle ne rentrai pas dans le « moule » scolaire. Sa ne lui plaisait pas de connaître sans savoir. Elle voulait apprendre, elle avait soif de savoir, mais personne ne lui en apportait dans les lieux ou elle se trouvait. Elle partait donc le chercher ailleurs. Dans des livres. C’est vrai, à quoi bon connaître par cœur toute les loi de la physique si on ne peu pas les appliquer, si on ne sais pas a quoi elle correspondent, si on ne peut pas les reconnaître ? à quoi bon  connaître sans savoir. Elle voulait comprendre les choses, pas les connaître. Quel intérêt à savoir dire sans se trompé la liste de tout les rois de France qu’il eu pût existé dans l’ordre chronologique ? tout ces rois sont mort et enterré depuis bien longtemps ! on peu connaître a la rigueur ce qu’il nous ont apporté, leur haut fait, mais même ça… ou est l’intérêt ? elle ne comprenait pas le système, donc elle ne rentrait pas dedans. Car celons sa propre logique, qui d’ailleurs n’est que très peut discutable, « pourquoi obéir alors qu’on ne sait même pas ou l’ordre nous mène ? il pourrait nous mené a notre perte. » elle avait totalement raison et elle le savait. Cela dit elle n’aurait pas été a ça place dans une armée. Cette adulte au corps d’enfant réfléchissait bien. Trop même celons certain qui croient que les enfants n’acquière de réflexion une foi l’age de 14ans atteint. Cette enfant là n’attendrait pas encore 7 autre longue années avent de réfléchir.

Cette réflexion prématuré lui attira de nombreux, trop nombreux ennuis pour une enfant. Des ennuis de ceux qui ne se résolvent pas seule, or elle était seule. N’en pouvant plus de toute ses punitions perpétuelle dût à ça réflexion trop avancé pour son age, elle sombra bientôt dans une sorte de « veille » ne se rallumant qu’une foi la nuit tombé pour réfléchir seule, une foi chacun endormi, allongé sur le dot dans son lit, observant les étoiles depuis les confins de ses couverture. Réfléchir a un monde meilleur, un endroit ou elle pourrait pensé librement, ou chacun pourrait défendre a son tour sa propre opinion, ou les adultes ne fond pas la loi, et ou il sont mit au même niveau que les enfants. Ou chaque personne ayant acquérir la réflexion pouvait exercé ses droits. Les même droits qui fond que les adultes choisisse et pas les enfants. Du haut des ses 7 années, elle ne savait pas que le monde était si dur pour les enfants. Elle subissait, mais ne connaissant pas l’étendu des droits des adultes, elle pouvait a peine entrevoir les injustices dont elle était victime, et qu’elle subissais sans bronché depuis sa naissance. Les adultes on tellement de privilège, en échange de devoir, plus généralement appelé « droit obligatoire » par la plupart de ses privilégier. Elle ne pouvait pas savoir a quelle point elle se trompait, quand on est une enfant de son age, on ne nous explique rien sur la vie. On nous bourre le crane d’idiotie. Après tout qu’est ce qu’on en a à fiche nous des guerre qui on eu lieu il y a des milliers d’années ? sa n’intéresse plus personne ce genre de chose. Qui a besoin de connaître par cœur les table de multiplication quand on à inventé les calculatrices ? pourquoi connaître la conjugaison quand le correcteur orthographique fait tout pour nous ? des questions sans réponses se promenait de ci de là dans son esprit. Cherchant à attirer son attention pour qu’elle y réfléchisse. Mais elle rêvai a son monde meilleur. Pourrat elle un jour le réaliser ? quel moyen employer pour ce faire ? comment exprimer et faire accepté ses idées ? elle se faisait tout un programme dans sa tête, pour parvenir a ce que chaque personne de ce monde présent accepte son monde future et l’aide a le bâtire, elle réfléchissait à une nouvelle éducation, de nouveau moyen d’enseignement basé sur la philosophie. Ou chaque personne chez qui la réflexion se serai éveiller serai considéré comme un adulte. Elle réfléchissait à la façon par laquelle on pourrait évaluer la réflexion d’une personne, dans son monde meilleur, pas d’école. A quoi bon après tout ? dans son monde meilleur chacun pourrai décider de comment acquérir la réflexion, de quand passé l’examen pour passé a l’age adulte, un monde ou les enfant pourrai choisir eux aussi, choisir leur chef, celui que les adulte actuel appelle le « président de la république ». après tout, les enfants vont vivre dans le monde que ce président présidera, donc ils ont tout à fait le droit de choisir eux aussi, choisir dans quel monde ils veulent vivre plus tard. Une bêtise faite par ce président peu gâché leur vie, ils ont le droit de choisir et doivent assumé eux même ce choix. Elle elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas elle aussi décider du monde future dans lequel elle allait devoir tant bien que mal s’intégré. Elle n’était pas faite pour le « moule » qu’on lui avait offert a son arrivé en ce monde. Il était trop petit, trop grand, pas de la bonne forme, il ne lui allait pas. Après tout quoi de plus normal, ce moule est fait pour une masse. Cette enfant ne faisait en aucun cas parti de cette masse d’autre enfant. Elle désirait plus, sa réflexion lui incitai la curiosité, en ce monde ou l’on disait que celle si était un vilain défaut. Elle elle la qualifiait de qualité exemplaire. Elle voulait chercher toujours plus loin, pausant a ses professeur des tas de questions, auquel ceux ci ne pouvait répondre. Il lui répondait qu’elle n’avait pas a le savoir. Elle insistai, elle voulait comprendre. Les professeur étant trop fière pour avoué qu’il n’en savait rien, elle se faisait punir pour insolence. Elle avait juste soif de tout ce savoir qu’était sensé contenir le corps enseignant ! bien vite elle fût qualifier de « voyou », « rebelle » et autre mots pour exprimé les enfants difficiles. Elle n’était rien de tout cela, bien que peu brillante par ses résultat scolaire, elle était brillante par ses réflexion et sa soif de savoir. Les résultats importait peu pour elle du moment qu’elle comprenait le pourquoi du comment. Car après tout quoi de plus intéressant que de comprendre ! a quoi bon savoir quand on ne comprend pas. Elle ne voulait pas « savoir » elle voulait « LE savoir ». le savoir s’acquière par la réflexion, ce qu’elle possédait déjà. Les punitions a répétition pour sa curiosité commençais à se faire ressentir sur son moral, elle sombrai peu a peu dans la déprime. S’ajoutai a ça les dispute répété avec ses parents au sujet de ses notes, de son « insolence » et des plaintes de ses professeurs. Elle répliquait que ce n’était pas de ça faute, et se prenait des fessé pour son insolence, mentir c’est mal. Elle ne mentait pas. Elle se défendait contre ses tirants de parents, elle rejouait pour eux les scènes, montrant bien qu’elle ne faisait que demander plus d’explication, qu’elle n’était en rien insolente, mais ses parents prenait ces scènette pour des singerie et des hypocrisie pour le professeur. Ils la punissait alors encore plus sévèrement. Ses différente injustice mainte foi répété la minait de plus en plus. Elle manquai d’affection, de liberté, de loisir. Elle aurait de nombreuse foi troqué sa vie contre celle d’une enfant normal, mais elle ne le pouvait. Un mots lui fût appris un jour, par hasard, « le prince ce suicida, son malheur était trop grand après la perte de son aimé ». elle trouva cette frase dans un livre, une histoire tragique. Elle chercha le mots dans le dictionnaire, l’on y expliquai que c’était mettre sois même fin a ses jours. C’est une solution pour clore son malheur. Comment en une seule année une vie peut elle basculé a ce point dan le désespoir ? par une opinion transmise ? une réflexion exprimer ? elle fît des recherche plus approfondi sur ce mots qui pourrai peut être la sauvé, elle trouva de nombreuse façon de se suicidé. Elle en choisit une simple et abordable parmi celle-ci. Un soir, la lune était masqué par les nuages du début de juin, fin d’année scolaire. Bientôt les vacances, un sourire sur chaque lèvre de chaque petit écolier. La fenêtre de sa chambre était fermé, le velux donnant sur le toit était ouvert. Personne ne s’en inquiéta, elle aimai regarder les étoiles depuis le toit. Personne n’avait remarqué qu’elle n’était plus sur le toit. Personne n’avait entendu sa chute. Personne n’avait perçut le bruit de son crane se disloquant sur le sol, personne n’avait donc pût entendre son dernier soupir, un soupir de soulagement. Quand elle avait doucement glissé or de son enveloppe corporelle, et que son cœur c’était arrêté de battre. Sa réflexion était peut être morte. Peut être. Ou alors peut être était elle parti pour « un monde meilleur » . diront les optimistes. Mai chacun sais de quoi elle est morte, elle est morte de l’incompétence d’un corps enseignant égoïste, de parent trop crédible, elle est morte car elle les dépassait en intelligence. Elle est morte d’être brillante. Aucune personne au monde ne devrai à avoir à subir de discrimination tel pour un niveau de réflexion différent d’une norme fixé par des conservateur. Chacun peu être utopiste. Et chacun a le droit à une reconnaissance pour ses qualités. Ici, personne n’a trouvé pourquoi cette enfant c’était suicidé. Manque d’esprit critique. Quelle malheur d’être brillant parmi les ténèbres, on attire tout de suite l’attention, en bien ou en mal.

désolé pour ceux qui aime pas lire!^^

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Commentaires
I
être adulte moi j'veu pa l'être daventage! j'le suis d'ja bien assé a mon gout! ral bol de tro réfléchir! y parai ke kan on grandi on le fait encore plus! et bin moi j'di ke j'réfléchi bien assé comme sa crotte!><
P
ba le sexe fait aussi partis de la vie mpais bon ya pas que sa de important aussi pour devenir adulte ya l'age que tu na pas maleuresement pour toi (ya aussi de grandire mais on peut dire que tes deja grande a sertain endroit -__-'' enfin bref ya aussi adulte dans l'espris et tu a encor des apspet d'enfant dans ton espris mais tu a le temps de grandir profite de ta jeunesse mon enfant pour mois ses deja foutu a mon boulot on me demande d'etre adulte alor bon
D
Oui, mais avant de devenir adulte il te manque pas mal de référence... Ne me regarde pas comme ça, je ne pensais pas au cul cette fois...
I
c'est pa gentil sa!XD j'trouve sa pluto réussi moi!^^ et c'est vrai ke j'fai bocou référence a ma propre vie... U_U
N
ouais ben je lierai pas ^^"
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